Ceci est le premier de la série. Cette carte indique les endroits où ces maisons étaient, et pour beaucoup d’entre elles, sont encore situées.
Dans ce premier numéro, vous passerez par les régions de la Montérégie, Lanaudière et Montréal!
Huile sur toile de la Maison de Jacques Archambault (petit-fils de l’ancêtre), par Pauline Caron Archambault. Elle se trouvait sur la promenade Bellerive à l’angle de la rue Mousseau, à Montréal.
Pierre Archambault, Granby
Richard Archambault, Pointe-Claire Diane Chabot, Pointe-Claire
Merci à tous nos traducteurs bénévoles
Monique Archambault, Saint-Étienne-de Bolton
Raynald Archambault, Québec
Maison construite vers 1895, rue Séraphin, à l’époque, par Joseph, époux de Victorine Ayotte.
Cette maison à deux niveaux en brique rouge et à toit vert existe encore et se trouve aujourd’hui à l’angle des rues Docteur-Poulin et Édouard-Guillet.
Apollinaire, fils de Joseph, son épouse Marie-Obéline Gagné dite Bellavance et leurs enfants ont habité cette demeure avant de s’établir dans le Bas-Saint-Laurent vers 1903.
Cette grande maison de pierres a été construite en 1835 par François Giard pour Henry Allard. En 1840, François Maheu en est le propriétaire, et il semble l’avoir léguée en novembre 1878 à sa fille Alexandrine, épouse de Joseph Blanchard. Celui-ci la lègue en 1887 à son fils Alcide, qui l’habite jusqu’en 1922, alors qu’Émile Archambault en devient propriétaire.
La maison située au 866, rue du Rivage est ensuite la propriété de Joseph Lajeunesse en 1932, puis d’Arthur Bouvier en 1939. Ce dernier la lègue à la fabrique de Sainte-Théodosie. Paul-Horace Archambault, époux de Jeanne Jacques, l’achète en 1955 et y demeure jusqu’en 1979. Celui-ci a été maire de Saint-Antoine-de-Padoue (village) de 1965 à 1971. La maison est rachetée de la succession de Paul-Horace Archambault par M. J. Jacques en 1979, puis revendue à J.-Jules Archambault en 1987.
Cette maison québécoise en pierres est d’inspiration française. On y retrouve les caractéristiques principales du modèle d’ici : souches de cheminées de pierres aux deux extrémités, symétrie des ouvertures en façade et galerie à l’avant. Élément dissonant à signaler la lucarne centrale.
Il s’agit de l’ancien hangar du curé de la paroisse de Varennes où étaient entreposés grain, plantes fourragères et autres. Le bâtiment daterait du début du XIXe siècle, selon les données de l’inventaire. Ce hangar fut converti en une résidence propriété de M. Alcidas Archambault, le notaire du village, puis il devient une résidence à logement multiple.
Le notaire Alcidas, né à Varennes le 14 janvier 1856, est le fils du patriote de 1857 Joseph Napoléon Azarie et d’Archange Aurélie Mongeau.
Aujourd’hui incendiée, cette maison était en 1990 une des plus anciennes de Saint-Denis-sur-Richelieu. Selon la monographie intitulée Saint-Denis-sur-Richelieu 1740-1990, Romulus, son épouse Rose-Hélène Millette, mariés le 21 septembre 1946 et leurs cinq garçons seraient les derniers de neuf générations à avoir habité cette maison. Ce qui nous mène au couple de Pierre Archambault et de Marie Lacombe, quatrième génération.
Né le 22 septembre 1877, Charles-Auguste Archambault, fut admis au Barreau de la province de Québec en 1901 et reçoit le prix Prince-de-Galles. Il a exercé sa profession pendant un demi-siècle à Montréal.
Propriétaires : Louis Archambault, époux de Madeleine Trépanier et sa sœur Marguerite, épouse de Julien Lefort, enfants d’Édouard et de Célanire Bourdon.
Cet hôtel de cinquante chambres qui possédait une salle à manger et un coin taverne au rez-de-chaussée, était le rendez-vous des voyageurs de commerce et des touristes et a été incendié le 12 janvier 1944.
Maison familiale de Charles-Auguste et d’Anne Beaudry Photo : Le monde en images
Cet hôtel de Valleyfield était dirigé par Marie Archambault, fille d’Édouard et de Célanise Bourdon, de Saint-Louis-de-Gonzague.
Fils de Pierre, agriculteur, et de Parmélia Lapierre, Viateur est né à Saint-Lin le 4 mai 1921; il s’y est marié à Anna Archambault, fille d’Eugène et d’Emma Crépeau, le 15 septembre 1945.
Viateur a cultivé ses terres pendant de nombreuses années. Ses travaux d’agrandissement et de construction de bâtiments l’ont amené plus tard à la menuiserie.
Il a acquis son érablière en 1958, où il a chaleureusement accueilli les membres des Archambault d’Amérique en avril 1987.
Cette maison se présente sans artifice et dans un état de conservation digne de mention. On la trouve au 341, rue Notre-Dame.
Sa toiture mansardée s’impose par son terrasson et ses brisis en tôle à baguette de couleur argentée. Cette forme de toit accorde plus d’espace sous les combles et permet de loger la famille souvent nombreuse autrefois. Plusieurs fenêtres donnent beaucoup de lumière à l’étage et une ouverture latérale plus petite permet même aux combles de recevoir sa part de lumière.
Le terme symétrie caractérise mieux la disposition et l’organisation de la façade. Les deux cheminées dans l’axe faîtier répondent aux deux lucarnes à pignon, et celles-ci aux deux fenêtres du rez-de-chaussée. Même les poteaux de la galerie se partagent la façade avec la même harmonie. La porte centrale, qui accueille les visiteurs ou qui s’ouvre pour les grands jours, vient équilibrer l’ensemble.
La grande galerie de bois avec ses poteaux tournés longe la façade et s’étire sur le côté nord-est pour atteindre la porte de la cuisine. En tournant, elle dessine une courbe gracieuse qui contraste avec les lignes du volume de la maison.
Cette maison a été construite au début du XXe siècle par Frédéric Béland, journalier, sur son emplacement vendu en 1898 par Louis Léveillé en faveur de Marie Béland, fille de Frédéric.
En 1903, la propriété passe aux mains de Médéric Foucher, bourgeois originaire de L’Assomption, l’époux de Stéphanie Archambault de Saint-Paul-l’Ermite, fille de Jean-Baptiste et Charlotte Juneau-Latulippe. Un médecin de Mascouche, Gérard Mathieu, acquiert la propriété en octobre 1941 qui la vend le même mois à Arthur Lefebvre.
En 1952, Fernand Laurier en devient propriétaire et la cède cinq ans plus tard à Émile Urbain, dont la famille a occupé et conservé la maison jusqu’à dernièrement.
Inspiré du document d’informations : Sur le parcours patrimonial, Fête au Petit Village, 23 et 24 septembre 2006.